Pour Ehsan Emami, Mobius cherche juste à “faire du buzz”. “Mais nous n’allons pas rester les bras croisés. Les accusations de Mobius sont très graves et nous allons les attaquer en justice pour diffamation”, prévient le président de Mediaserv.
Sur un marché de l’internet local qui compte aujourd’hui 7 challengers, les tensions semblent aujourd’hui s’amplifier dangereusement. La guerre des prix aurait-elle atteint ses limites pour que les fournisseurs d’accès locaux n’aient désormais plus d’autres alternatives que de s’affronter sur le terrain judiciaire ?