Il refuse le mimétisme avec les radios commerciales et préconise donc une politique de différenciation et de modernisation. Nos radios pays ont trop la tête dans le guidon du quotidien pour prendre du recul et s'intéresser aux grands reportages ou aux magazines.
C'est une valeur ajoutée que nous devrons essayer de porter depuis Paris, en synergie avec les stations et en interaction avec le public. » Robert Moy voudrait démontrer que la radio peut apporter sa contribution dans la résolution des problèmes rencontrés dans les territoires avec la ressource des experts présents dans l'Hexagone. Et puis, il pense global média, c'est-à-dire qu'il veut adapter l'évolution de la consommation aux médias en faisant une place à Internet et au smartphone dans une synergie télé et radio.