Orange et SETAR ont démarré la construction du projet CELIA-CETC (Caribbean ELIte Alliance - Caribbean European Territories Cable), un nouveau câble de 1 900 kilomètres qui fournira au minimum 22 térabits par seconde par paire de fibre, avec une capacité initiale globale estimée à plus de 44 térabits par seconde. Des stations d’atterrissement seront installées au Lamentin (Martinique) et à Baby Beach (Aruba), tandis que la station finale se trouvera à Boca Raton, en Floride (États-Unis).
Ce projet sera subventionné par le programme CEF2 (Connecting Europe Facility 2) afin de favoriser la connectivité numérique à Aruba et dans les territoires français des Antilles-Guyane.
Le projet devrait être opérationnel au troisième trimestre de 2027.
La parole à Michaël TRABBIA, directeur exécutif et PDG d’Orange Wholesale : « Orange se réjouit de mettre son leadership et son expertise sectorielle au profit de la construction du câble CELIA qui offrira une connectivité internationale performante et entièrement sécurisée dans la région des Caraïbes. Je remercie notre partenaire SETAR ainsi que l’Union européenne pour leur contribution au financement de ce projet, qui traduit l’engagement de l’UE à améliorer la connectivité à l’intérieur de ses frontières et au-delà. Orange est fière de contribuer à la connectivité mondiale en développant ses infrastructures pour connecter les communautés, favoriser les échanges numériques et soutenir le développement durable de la société. Le câble CELIA bénéficiera de l’expertise d’ASN en tant que fournisseur de bout en bout de l’infrastructure de câble sous-marin et de notre filiale Orange Marine chargée du déploiement marin du câble ».
La parole à Roland CROES, PDG de SETAR N.V. : « SETAR est enthousiaste à l’idée de participer au projet CELIA-CETC. Nous sommes heureux de recevoir cette subvention du programme CEF2 (Connecting Europe Facility 2) en collaboration avec Orange. Sur une île comme Aruba, la connexion au réseau mondial nous permet d’être résilients, de nous connecter au reste du monde, de favoriser l’éducation et les investissements privés et de stimuler le développement durable ».